Pourquoi faudrait-il réduire nos standards de vie en fonction de quotas et de catégories socio-professionnelles ?
L'entreprenariat m'apprend à poser mes tarifs, à afficher mes prix. Mes prix dans le sens de la valeur pécuniaire que j'associe à mon savoir, à ma présence, à mes compétences.
Mais alors qu'en est-il quand des client.e.s ou employeurs nous trouvent ''trop cher.ères'' ? Trop cher pour qui ? En fonction de quoi ? Par rapport à quelle mesure ?
Je vous invite à considérer la liberté de poser ses prix. La liberté de négocier ce que 'vous valez'. Et c'est d'ailleurs un piège à considérer : nous ne sommes pas nos tarifs. Nous ne sommes pas non plus nos status sociaux, nos possessions ni même nos responsabilités. Nous sommes. POINT. Nous existons et faisons l'expérience d'émotions, de fluctuations, d'expériences variées : ici nous expérimentons l'abondance ou la peur de s'affirmer. Et c'est ok. C'est ok de ne pas oser. C'est ok de ne pas savoir combien demander. C'est ok de se contenter de la sécurité plutôt que de se lancer totalement dans l'inconnu. Pas à pas. Par étape.
Simplement, en prenant conscience que l'accès à des services et produits nous procurant du bien-être (sport, soins, alimentation de qualité, vacances etc) passe en partie par un échange monétaire, demandez-vous quel type de vie vous souhaiteriez goûter ? Ancrez-vous dans votre authenticité pour aligner vos actions et manifester peu à peu ce que vous désirez ! vous le pouvez !
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